Les députés ont pris la décision de limiter la vitesse au niveau des autoroutes à hauteur de 100 km/h. Une initiative qui devrait prendre effet à compter du mois de janvier prochain en France. Elle a pour but de limiter les émission de gaz carbonique tout en favorisant la sécurité routière grâce à une diminution du nombre d’accidents liés aux excès de vitesse ?
Limitation de vitesse : à quoi s’attendre d’ici 2025 ?
Le Parlement européen estime que cette limitation de vitesse constitue un pas majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. Cette mesure devrait également contribuer à renforcer la sécurité sur les routes. Du côté des conducteurs en revanche, la pilule a du mal à passer. Heureusement pour eux, tout ceci relève d’un simple poisson d’avril. Il convient cependant de noter que le non-respect des limites de vitesse est sévèrement puni par la loi.
Outre les peines d’amendement qui peuvent résulter de cette infraction, les contrevenants risquent de perdre des points sur le permis de conduire. Rappelons que pour un excès de 20 à 30 km/h, la contravention s’élève à 400 €. A cela s’ajoute le retrait de 6 points sur le permis du conducteur arrêté.
Il faut savoir qu’à l’heure actuelle, les mesures régulations autour de l’industrie automobile ne cessent de s’amplifier aussi bien pour les automobilistes comme pour les clients. Raison pour laquelle les dispositions à l’encontre des conducteurs ne respectant pas le code de la route ne cessent de s’intensifier.
Quels sont les avantages d’une telle décision
Le fait de limiter la vitesse à 100 km/h, bien qu’il s’agisse d’une décision controversée, présente de nombreux avantages :
- Diminution des émissions de gaz carbonique grâce à une consommation minimale de carburant
- Sensibilisation des conducteurs sur l’importance de conduire avec prudence pour la sécurité du chauffeur, des passagers et des autres usagers de la route
- Limitation des accidents de voiture résultant du non-respect des limites de vitesse sur les autoroutes
Si l’instauration de cette mesure venait à devenir effective, le gouvernement devra organiser des campagnes de communication à la fois informatives et incitatives pour changer l’avis des automobilistes sur ce projet controversé.