Le chèque énergie représente un précieux coup de pouce pour les ménages aux revenus modestes qui ont du mal à régler les factures énergétiques en raison de la hausse des coûts de l’énergie. Les bénéficiaires doivent cependant respecter cette mesure au risque de perdre jusqu’à 677 € cette année. On vous en dit plus dans les prochaines lignes !
Chèque énergie : des échéances qu’il faut impérativement respecter
Avec le contexte de forte inflation, il est devenu impératif de comprendre le fonctionnement de ces aides énergétiques. C’est notamment le cas du chèque énergie qui profite à plus de 20% de foyers français vivant dans la plus grande précarité. Ce dispositif qui s’élève entre 50 et 270 € constitue un élément fondamental pour les foyers qui ont du mal à couvrir les charges liées aux dépenses énergétiques. Le chèque permet ainsi de financer les dépenses en gaz, en électricité ou encore en ressources de chauffage (bois, fioul, etc.).
Mis à part le chèque énergie, d’autres dispositions ont été instaurées par le gouvernement pour faciliter les travaux de réhabilitation énergétique. C’est notamment le cas du dispositif MaPrimeRénov’.
Attention à ne pas dépasser les échéances !
Il faudra respecter la date limite fixée au 31 mars pour l’utilisation du chèque énergie. Une fois ce délai dépassé, le chèque ne sera plus valide. D’où l’intérêt de s’en servir au plus vite si vous n’avez pas encore utilisé le vôtre ! Pour optimiser les intérêts générés par les aides financières, il convient de les cumuler le cas échéant avec d’autres prestations.
Mis à part le chèque énergie classique, certains foyers ont accès à une autre prime exceptionnelle qui s’élève entre 100 et 200 €. Cette dernière a été délivrée au début de cette année aux foyers les plus vulnérables dans le but d’alléger les conséquences de l’inflation et de la crise énergétique.
De même, le chèque fioul a profité à plus d’1 million de ménages français pour les aider à faire face à la flambée des prix du fioul. Cette aide estimée entre 100 et 200 € devra également être utilisée avant la fin de son échéance. En combinant toutes ces prestations, les bénéficiaires peuvent toucher jusqu’à 677 €.
